Auteur : Stephen Vizinczey

Les souvenirs amoureux d'Andras Vajda.

« Je me méfiais d'Éloge des femmes mûres, ne serait-ce que parce que ce roman est devenu un best-seller mondial. J'avais tort. L'érotisme, c'est cela, le vrai, qui se pratique dans la découverte et le respect de l'autre, qui enrichit la connaissance de soi. Maurice Nadeau, La Quinzaine littéraire

« C'est sans doute la plus incroyable aventure éditoriale de ces dernières années . En France, Éloge des femmes mûres tient le haut du pavé depuis maintenant dix-huit mois : il n'a pratiquement jamais quitté les listes des meilleures ventes des livres… Et tout cela sans le secours de la presse : trois articles en tout et pour tout… Un récit amusant, un style sobre mais irréprochable, un propos anticonformiste et profond : il n'en fallait pas davantage. François Busnel, L'Express

« C'est un bijou de subtilité, de nuances, sur la découverte de la sexualité… Je n'en suis pas encore revenue. Lisez-le ! » Danielle Laurin, Elle

EN RUPTURE D'INVENTAIRE : NE PEUT ÊTRE COMMANDÉ !

Auteur : Stephen Vizinczey

Un millionnaire innocent a été salué à travers le monde par des critiques le comparant aux classiques du XIXe siècle, en particulier à Stendhal et à Balzac.

« Tellement saisissant que c'en est presque insupportable… Vizinczey a créé un grand roman, mettant en scène une multitude de personnages extraordinairement vivants, bons ou méchants. Sa comédie humaine du monde moderne nous laisse stupéfaits. » (Eva Haldimann, Neue Zürcher Zeitung).

«  Vizinczey raconte l'histoire de son jeune héros avec l'affection sardonique qu'éprouvent les gens d'un certain âge pour eux-mêmes lorsqu'ils étaient plus jeunes et meilleurs… Passion et calcul, abandon et retenue, aventure amoureuse et finance, ces tendances diverses structurent le superbe nouveau roman de Vizinczey… Comme Stendhal, Vizinczey est capable de consacrer des pages entières à un instant de la vie intérieure de ses personnages, puis de décrire un événement extérieur crucial en une simple phrase… saut fort habile qui entrecoupe un récit en un rythme saccadé et imprévisible rappelant celui du Rouge et le Noir… Une version contemporaine de Stendhal sur l'amour, et de Balzac sur l'argent.  » (Michael Stem, San José Mercury News).