Auteur : Daphné du Maurier

Née à Londres en 1907, la romancière anglaise Daphné du Maurier grandit dans une famille amie des arts et des lettres. Son grand-père, George, était écrivain; son Père, Gerald, acteur. Elle devait leur consacrer par la suite deux livres : « Gerald » (1934), « Les du Maurier » (1937).

Au cours de sa carrière commencée en 1931, elle a écrit une dizaine de romans, mais c'est « L'Auberge de la Jamaïque » (1936) et surtout « Rebecca » (1938) qui feront sa réputation dans le monde entier. Elle publie de nombreuses nouvelles où se mêlent subtilement psychologie et fantastique (« Les Oiseaux », « Point de rupture »). Elle est aussi l'auteur de pièces de théâtre et d'un essai : « Le Monde infernal de Branwell Brontë » (1960).

Auteur : Daphné du Maurier

Née à Londres en 1907, la romancière anglaise Daphné du Maurier grandit dans une famille amie des arts et des lettres. Son grand-père, George, était écrivain; son Père, Gerald, acteur. Elle devait leur consacrer par la suite deux livres : « Gerald » (1934), « Les du Maurier » (1937).

Au cours de sa carrière commencée en 1931, elle a écrit une dizaine de romans, mais c'est « L'Auberge de la Jamaïque » (1936) et surtout « Rebecca » (1938) qui feront sa réputation dans le monde entier. Elle publie de nombreuses nouvelles où se mêlent subtilement psychologie et fantastique (« Les Oiseaux », « Point de rupture, « Pas après minuit, etc. »). Elle est aussi l'auteur de pièces de théâtre et d'un essai : « Le Monde infernal de Branwell Brontë ». Ses derniers romans, « La Maison sur le rivage » et « Mad » ont paru en 1971 et 1972.

Auteur : Daphne du Maurier

Petite-fille de George Du Maurier, l'auteur de « Peter Ibbetson », et fille de l'acteur Gerald, Daphné Du Maurier est née à Londres en 1907. Très tôt mêlée aux milieux artistiques et littéraires, elle commence en 1931 une féconde carrière d'écrivain marquée au moins par deux succès mondiaux, « L'Auberge de la Jamaïque », paru en 1936, et « Rebecca », publié en 1938.

On lui doit deux livres d'une grande délicatesse, « Gerald », consacré à la vie de son père, et « Les Du Maurier », qui rapporte l'histoire de sa famille pendant trois générations. Bien que ses romans ne comportent habituellement qu'une faible part d'aventure, ils séduisent par une sorte d'intrigue secrète dont le caractère troublant finit par fasciner le lecteur. À côté de romans comme « Le Général du roi » (1946), « Ma Cousine Rachel » (1951), « Les Souffleurs de verre » (1964), « La Maison sur le rivage » (1971), elle a publié des pièces de théâtre et un essai : « Le Monde infernal de Branwell Brontë ».

L'affection que le jeune Philip nourrit, en dépit de la différence d'âge, pour son cousin Ambroise Ashley le pousse à gagner Florence sitôt que ce dernier, qui a épousé une comtesse italienne, lui écrit pour demander son aide. À peine arrivé, il apprend la mort d'Ambroise et repart sans avoir pu démêler le mystère qui entoure l'existence de la comtesse Rachel.

Quand la cousine Rachel rejoint soudain Philip en Angleterre, elle porte à son comble la confusion des sentiments de haine et de désir qui animent le protégé d'Ambroise. Pourtant le charme de la jeune femme agit au point de susciter l'amour chez Philip qui, dans un élan de folle générosité, renonce à son héritage au profit de l'intrigante. Mis en garde par Louise, la fille du pasteur, à qui l'habileté de l'Italienne n'a pas échappé, Philip ne comprend vraiment qu'il a été joué que le jour même où Rachel prend possession du domaine et laisse ouvertement paraître son mépris de tout sentiment amoureux. Un jour, Philip découvre que Rachel dissimule du poison. Ambroise est-il mort de mort naturelle comme on l'a prétendu ? Et comment Philip échappera-t-il au même destin ?

Auteur : Daphné du Maurier

Née à Londres en 1907, la romancière anglaise Daphné du Maurier grandit dans une famille amie des arts et des lettres. Son grand-père, George, était écrivain; son Père, Gerald, acteur. Elle devait leur consacrer par la suite deux livres : « Gerald » (1934), « Les du Maurier » (1937).

Au cours de sa carrière commencée en 1931, elle a écrit une dizaine de romans, mais c'est « L'Auberge de la Jamaïque » (1936) et surtout « Rebecca » (1938) qui feront sa réputation dans le monde entier. Elle publie de nombreuses nouvelles où se mêlent subtilement psychologie et fantastique (« Les Oiseaux », « Point de rupture »). Elle est aussi l'auteur de pièces de théâtre et d'un essai : « Le Monde infernal de Branwell Brontë » (1960).