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Dostoïevski, Fedor Mikhaïlovitch

Secondemain | Poche | D |  Dostoïevski, Fedor Mikhaïlovitch

Dans chaque section, les auteurs sont classés alphabétiquement de la façon suivante : Nom, Prénom.
Les livres en inventaire de chaque auteur sont ensuite regroupés sous leur nom.

 
Crime et châtiment

Crime et châtiment

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Un livre terrible et classique à la fois…

- Une âpre et brûlante histoire d'amour…

- Une hallucinant roman policier…

- Le drame éternel de la souffrance et de l'expiation…

Dans l'atmosphère vaporeuse de Saint-Pétersbourg par un bel été, le jeune étudiant Raskolnikov assassine, avec un cynique sang-froid, une vieille usurière… « Crime et châtiment », c'est la révélation haletante d'une âme criminelle dans son intime et trouble complexité, mais c'est aussi un des plus grands romans d'amour de tous les temps, celui de Raskolnikov pour Sonia, la prostituée, qui le suivra en Sibérie, et à force de bonté et de compréhension parviendra à le racheter à ses propres yeux. Voilà pour l'intrigue. Mais il y a bien plus encore dans ce maître livre qui éveille un écho si puissant au coeur de tous les lecteurs du XXe siècle.

« Crime et châtiment » est en effet « un des livres les plus étonnamment convaincants et terrifiants de toutes les littératures », comme l'a dit le critique W. Neilson. On ajoutera que c'est aussi un des livres les plus modernes qui soient tant il préfigure à chaque page les drames et les tourments de l'homme d'aujourd'hui.

« Crime et châtiment » apporta la gloire à son auteur. Il a été traduit pratiquement dans toutes les langues à des millions d'exemplaires, et porté souvent à la scène et quatre fois déjà à l'écran.

Theodor Dostoïevski est né à Moscou en 1821 d'un médecin militaire brutal et nerveux et y est mort en 1881 après une vie où défaites et triomphes se mêlent étroitement. Il perd sa mère à l'âge de 15 ans, est

élevé à. l'école militaire mais quitte l'armée dès 1844 pour se consacrer à la littérature. Il y débute brillamment par une nouvelle : « Les Pauvres Gens ». Membre d'un cercle socialiste, il est arrêté en 1849 et déporté quatre ans durant en Sibérie. Il y gagna l'épilepsie mais aussi la foi chrétienne, la conviction que le pire criminel recèle une âme malheureuse, la notion de la souffrance-expiation. De là l'inspiration de la plupart de ses romans, tous plus ou moins autobiographiques : « Crime et châtiment », « L'Idiot », « Le Joueur », « Les Frères Karamazov », et qui ont connu dans le monde un succès universel, qui s'est encore accru récemment, la littérature d'observation psychologique, attentive aux dessous obscurs des sentiments saluant en Dostoïevsky son précurseur.



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 13679
Éditeur : Gérard & Co
Collection : Marabout Géant
Numéro(s) du livre : G 5
ISBN : Non disponible
Année d'impression : Non disponible
Poids : 300 gr

Prix : 7,99 $

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Crime et châtiment

Crime et châtiment

Auteur : Fedor Mikhaïlovich Dostoïevski

Il n'y tint plus, tendit lentement le bras vers la sonnette, et sonna. Une demi-minute après, il sonna encore une fois, plus fort.

Pas de réponse. [… ] La vieille bien sûr était à la maison, mais elle était méfiante et seule. [… ] Il distingua soudain comme le frôlement prudent d'une main devant le bouton du verrou et comme un glissement de robe contre la porte même. Quelqu'un était là devant la serrure et, exactement comme lui au-dehors, écoutait de l'intérieur en retenant son souffle. […]

Exprès, il fit un mouvement et marmotta quelque chose, pour ne pas avoir l'air de se cacher; ensuite il sonna une troisième fois, mais doucement, posément et sans aucune impatience. Quand il s'en souvenait plus tard, il trouvait cette minute gravée dans sa mémoire a jamais, claire et nette; il ne pouvait pas comprendre où il avait pris tant de ruse, d'autant plus que son cerveau était comme obnubilé par moments et qu'il ne sentait presque plus le poids de son corps… Un instant plus tard, il entendit qu'on tirait le verrou. »



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 24367
Éditeur : GF Flammarion
Collection : Non disponible
Numéro(s) du livre : 420
ISBN : 2-08-070420-6
Année d'impression : 1984
Poids : 470 gr

Prix : 5,99 $

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Crime et châtiment - Tome I

Crime et châtiment - Tome I

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Il n'y avait plus une seconde à perdre; il retira la hache de dessous son pardessus, l'éleva à deux mains et d'un geste mou, presque machinal, la laissa retomber sur la tête de la vieille. Il lui semblait n'avoir plus de forces; elles lui revinrent dès qu'il eut frappé une fois.

La vieille était tête nue, selon son habitude… Elle poussa un faible cri et soudain s'affaissa par terre après avoir cependant eu le temps de porter les mains à sa tête. L'une tenait encore le gage. Alors Raskolnikov la frappa de toutes ses forces deux fois, l'une après l'autre, à la tempe. Le sang jaillit à flot comme d'un verre renversé.

« Les romans les plus chargés de pensée… Les livres les plus pantelants de vie que je connaisse » (André Gide).

Partant du même problème, Nietzsche et Dostoïevski proposent à ce problème des solutions différentes, opposées. Nietzsche propose une affirmation de soi, il y voit le but de la vie. Dostoïevski propose une résignation. Où Nietzsche pressent une apogée, Dostoïevski ne prévoit qu'une faillite. André Gide

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauwres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



Condition générale du livre : 3/5   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 35466
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Classique
Numéro(s) du livre : 1289 - 1890
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1965
Poids : 230 gr

Prix : 5,99 $

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Crime et châtiment - Tome I

Crime et châtiment - Tome I

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Il n'y avait plus une seconde à perdre; il retira la hache de dessous son pardessus, l'éleva à deux mains et d'un geste mou, presque machinal, la laissa retomber sur la tête de la vieille. Il lui semblait n'avoir plus de forces; elles lui revinrent dès qu'il eut frappé une fois.

La vieille était tête nue, selon son habitude… Elle poussa un faible cri et soudain s'affaissa par terre après avoir cependant eu le temps de porter les mains à sa tête. L'une tenait encore le gage. Alors Raskolnikov la frappa de toutes ses forces deux fois, l'une après l'autre, à la tempe. Le sang jaillit à flot comme d'un verre renversé.

« Les romans les plus chargés de pensée… Les livres les plus pantelants de vie que je connaisse » (André Gide).

Partant du même problème, Nietzsche et Dostoïevski proposent à ce problème des solutions différentes, opposées. Nietzsche propose une affirmation de soi, il y voit le but de la vie. Dostoïevski propose une résignation. Où Nietzsche pressent une apogée, Dostoïevski ne prévoit qu'une faillite. André Gide

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauwres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 5787
Éditeur : Gallimard
Collection : Folio
Numéro(s) du livre : 652
ISBN : 2-07-036652-9
Année d'impression : 1986
Poids : 300 gr

Prix : 5,99 $

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Crime et châtiment - Tome I

Crime et châtiment - Tome I

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Partant du même problème, Nietzsche et Dostoïevski proposent à ce problème des solutions différentes, opposées. Nietzsche propose une affirmation de soi, il y voit le but de la vie. Dostoïevski propose une résignation. Où Nietzsche pressent une apogée, Dostoïevski ne prévoit qu'une faillite. André Gide

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauwres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 722
Éditeur : Garnier-Flammarion
Collection : Non disponible
Numéro(s) du livre : 78
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1965
Poids : 220 gr

Prix : 3,99 $

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Crime et châtiment - Tome II

Crime et châtiment - Tome II

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Ces derniers mots étaient d'autant plus inattendus qu'ils tombaient après l'espèce d'amende honorable que venait de faire le juge d'instruction. Raskolnikov se mit à trembler de tout son corps comme un homme frappé d'un coup terrible.

- Mais… alors… qui… est l'assassin ? balbutia-t-il d'une voix entrecoupée.

Porphyre Petrovitch se renversa sur sa chaise, de l'air d'un homme stupéfait par une question abracadabrante.

- Comment, qui est l'assassin ? répéta-t-il comme s'il n'en pouvait croire ses oreilles, mais c'est vous.

« Dostoïevski, le coeur le plus profond, la plus grande. conscience du monde moderne » (André Suarès).

Il n'y avait plus une seconde à perdre; il retira la hache de dessous son pardessus, l'éleva à deux mains et d'un geste mou, presque machinal, la laissa retomber sur la tête de la vieille. Il lui semblait n'avoir plus de forces; elles lui revinrent dès qu'il eut frappé une fois.

La vieille était tête nue, selon son habitude… Elle poussa un faible cri et soudain s'affaissa par terre après avoir cependant eu le temps de porter les mains à sa tête. L'une tenait encore le gage. Alors Raskolnikov la frappa de toutes ses forces deux fois, l'une après l'autre, à la tempe. Le sang jaillit à flot comme d'un verre renversé.

« Les romans les plus chargés de pensée… Les livres les plus pantelants de vie que je connaisse » (André Gide).

Partant du même problème, Nietzsche et Dostoïevski proposent à ce problème des solutions différentes, opposées. Nietzsche propose une affirmation de soi, il y voit le but de la vie. Dostoïevski propose une résignation. Où Nietzsche pressent une apogée, Dostoïevski ne prévoit qu'une faillite. André Gide

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauwres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



Condition générale du livre : 3/5   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 35468
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Classique
Numéro(s) du livre : 1291 - 1891
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1964
Poids : 230 gr

Prix : 5,99 $

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Crime et châtiment - Tome II

Crime et châtiment - Tome II

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Ces derniers mots étaient d'autant plus inattendus qu'ils tombaient après l'espèce d'amende honorable que venait de faire le juge d'instruction. Raskolnikov se mit à trembler de tout son corps comme un homme frappé d'un coup terrible.

- Mais… alors… qui… est l'assassin ? balbutia-t-il d'une voix entrecoupée.

Porphyre Petrovitch se renversa sur sa chaise, de l'air d'un homme stupéfait par une question abracadabrante.

- Comment, qui est l'assassin ? répéta-t-il comme s'il n'en pouvait croire ses oreilles, mais c'est vous.

« Dostoïevski, le coeur le plus profond, la plus grande. conscience du monde moderne » (André Suarès).

Il n'y avait plus une seconde à perdre; il retira la hache de dessous son pardessus, l'éleva à deux mains et d'un geste mou, presque machinal, la laissa retomber sur la tête de la vieille. Il lui semblait n'avoir plus de forces; elles lui revinrent dès qu'il eut frappé une fois.

La vieille était tête nue, selon son habitude… Elle poussa un faible cri et soudain s'affaissa par terre après avoir cependant eu le temps de porter les mains à sa tête. L'une tenait encore le gage. Alors Raskolnikov la frappa de toutes ses forces deux fois, l'une après l'autre, à la tempe. Le sang jaillit à flot comme d'un verre renversé.

« Les romans les plus chargés de pensée… Les livres les plus pantelants de vie que je connaisse » (André Gide).

Partant du même problème, Nietzsche et Dostoïevski proposent à ce problème des solutions différentes, opposées. Nietzsche propose une affirmation de soi, il y voit le but de la vie. Dostoïevski propose une résignation. Où Nietzsche pressent une apogée, Dostoïevski ne prévoit qu'une faillite. André Gide

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauwres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 5788
Éditeur : Gallimard
Collection : Folio
Numéro(s) du livre : 653
ISBN : 2-07-036653-7
Année d'impression : 1986
Poids : 320 gr

Prix : 5,99 $

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Crime et châtiment - Tome II

Crime et châtiment - Tome II

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Dostoïevski, le seul qui m'ait appris quelquechose en psychologie. Nietzche

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauwres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 708
Éditeur : Garnier-Flammarion
Collection : Non disponible
Numéro(s) du livre : 79
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1965
Poids : 200 gr

Prix : 3,99 $

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L'adolescent

L'adolescent

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

« La pitié est ce qui importe le plus, peut-être l'unique loi de l'existence humaine ». Dostoïevsky

Dernie rejeton d'une grande famille dégénérée et déchue, le jeune prince Mychkine est un être instinctif, candide et bon comme un enfant. Il fascine par son étrange personnalité tous ceux qui l'approchent et attire irrésistiblement leurs confidences. Aglaé, une tendre et orgueilleuse jeune fille qu'un père cupide veut marier au riche Totzky est la première conquise par cet être tout neuf, par cet être « sans calcul » qu'on veut lui imposer.

C'est ensuite la belle Nastasie, qui est devenue non sans écœurement, mais par un certain sens du devoir la maîtresse de son bienfaiteur — le même Totzky — et dont il devine la misère morale.

La bonté du prince, son impulsivité et sa terrible sincérité le placeront au centre d'un drame angoissant. Sommé de choisir entre les deux femmes, il ira vers celle qu'il estime la plus digne de pitié, mais pourra-t-il faire taire son amour pour l'autre ?

Fedor Dostoïevsky est né à Moscou en 1821 d'un médecin militaire brutal et nerveux, et y est mort en 1881, après une vie où défaites et triomphes se mêlèrent étroitement. Il perd sa mère à l'âge de 15 ans, est élevé à l'école militaire mais quitte l'armée dès 1844 pour se consacrer à la littérature. Il y débute brillamment par une nouvelle : « Les Pauvres Gens ». Membre d'un cercle socialiste, il est arrêté en 1849 et déporté quatre ans durant en Sibérie. Il y gagna l'épilepsie, mais aussi la foi chrétienne, la conviction que le pire criminel recèle une âme malheureuse, la notion de la souffrance-expiation. De là l'inspiration de la plupart de ses romans, tous plus ou moins autobiographiques : « Crime et Châtiment », « L'Idiot », « Le Joueur », « Les Frères Karamazov », et qui ont connu dans le monde un succès universel, qui s'est encore accru, récemment, la littérature d'observation psychologique, attentive aux dessous obscurs des sentiments, saluant en Dostoievsky son précurseur.



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 21767
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Classique
Numéro(s) du livre : 2121
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1967
Poids : 220 gr

Prix : 5,99 $

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L'éternel mari

L'éternel mari

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Tandis que de sa main gauche blessée il tenait l'assassin, il se mit à chercher, en tâtonnant de la droite, le cordon du rideau : cela dura tres longtemps, enfin il le saisit et l'arracha. Lui-même fut surpris, plus tard, de l'effort extraordinaire que cela nécessita. Durant ces trois minutes, ni l'un ni l'autré ne laissèrent échapper un seul mot. On n'entendait que leur respiration oppressée et le bruit sourd de la lutte. Etant enfin parvenu à ligoter les bras de Pavel Pavlovitch ramenés derrière le dos, Veltchaninov le jeta à terre, se dressa, écarta le rideau et leva le store.

« Je ne connais guère de livre au monde qui, comme celui-ci, nous rende notre nuit. » Pierre Gascar

Au cinéma, une création inoubliable de Raimu sous le titre de « L'Homme au chapeau rond » .



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Numéro d'inventaire : 29536
Éditeur : Gallimard
Collection : Folio
Numéro(s) du livre : 97
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1977
Poids : 170 gr

Prix : 7,99 $

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L'idiot

L'idiot

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

« La pitié est ce qui importe le plus, peut-être l'unique loi de l'existence humaine ». Dostoïevsky

Dernie rejeton d'une grande famille dégénérée et déchue, le jeune prince Mychkine est un être instinctif, candide et bon comme un enfant. Il fascine par son étrange personnalité tous ceux qui l'approchent et attire irrésistiblement leurs confidences. Aglaé, une tendre et orgueilleuse jeune fille qu'un père cupide veut marier au riche Totzky est la première conquise par cet être tout neuf, par cet être « sans calcul » qu'on veut lui imposer.

C'est ensuite la belle Nastasie, qui est devenue non sans écœurement, mais par un certain sens du devoir la maîtresse de son bienfaiteur — le même Totzky — et dont il devine la misère morale.

La bonté du prince, son impulsivité et sa terrible sincérité le placeront au centre d'un drame angoissant. Sommé de choisir entre les deux femmes, il ira vers celle qu'il estime la plus digne de pitié, mais pourra-t-il faire taire son amour pour l'autre ?

Fedor Dostoïevsky est né à Moscou en 1821 d'un médecin militaire brutal et nerveux, et y est mort en 1881, après une vie où défaites et triomphes se mêlèrent étroitement. Il perd sa mère à l'âge de 15 ans, est élevé à l'école militaire mais quitte l'armée dès 1844 pour se consacrer à la littérature. Il y débute brillamment par une nouvelle : « Les Pauvres Gens ». Membre d'un cercle socialiste, il est arrêté en 1849 et déporté quatre ans durant en Sibérie. Il y gagna l'épilepsie, mais aussi la foi chrétienne, la conviction que le pire criminel recèle une âme malheureuse, la notion de la souffrance-expiation. De là l'inspiration de la plupart de ses romans, tous plus ou moins autobiographiques : « Crime et Châtiment », « L'Idiot », « Le Joueur », « Les Frères Karamazov », et qui ont connu dans le monde un succès universel, qui s'est encore accru, récemment, la littérature d'observation psychologique, attentive aux dessous obscurs des sentiments, saluant en Dostoievsky son précurseur.



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 21435
Éditeur : Gérard & Co
Collection : Marabout Géant
Numéro(s) du livre : G 19
ISBN : Non disponible
Année d'impression : Non disponible
Poids : 400 gr

Prix : 7,99 $

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L'idiot - Tome II

L'idiot - Tome II

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

« La pitié est ce qui importe le plus, peut-être l'unique loi de l'existence humaine ». Dostoïevsky

Dernie rejeton d'une grande famille dégénérée et déchue, le jeune prince Mychkine est un être instinctif, candide et bon comme un enfant. Il fascine par son étrange personnalité tous ceux qui l'approchent et attire irrésistiblement leurs confidences. Aglaé, une tendre et orgueilleuse jeune fille qu'un père cupide veut marier au riche Totzky est la première conquise par cet être tout neuf, par cet être « sans calcul » qu'on veut lui imposer.

C'est ensuite la belle Nastasie, qui est devenue non sans écœurement, mais par un certain sens du devoir la maîtresse de son bienfaiteur — le même Totzky — et dont il devine la misère morale.

La bonté du prince, son impulsivité et sa terrible sincérité le placeront au centre d'un drame angoissant. Sommé de choisir entre les deux femmes, il ira vers celle qu'il estime la plus digne de pitié, mais pourra-t-il faire taire son amour pour l'autre ?

Fedor Dostoïevsky est né à Moscou en 1821 d'un médecin militaire brutal et nerveux, et y est mort en 1881, après une vie où défaites et triomphes se mêlèrent étroitement. Il perd sa mère à l'âge de 15 ans, est élevé à l'école militaire mais quitte l'armée dès 1844 pour se consacrer à la littérature. Il y débute brillamment par une nouvelle : « Les Pauvres Gens ». Membre d'un cercle socialiste, il est arrêté en 1849 et déporté quatre ans durant en Sibérie. Il y gagna l'épilepsie, mais aussi la foi chrétienne, la conviction que le pire criminel recèle une âme malheureuse, la notion de la souffrance-expiation. De là l'inspiration de la plupart de ses romans, tous plus ou moins autobiographiques : « Crime et Châtiment », « L'Idiot », « Le Joueur », « Les Frères Karamazov », et qui ont connu dans le monde un succès universel, qui s'est encore accru, récemment, la littérature d'observation psychologique, attentive aux dessous obscurs des sentiments, saluant en Dostoievsky son précurseur.



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Numéro d'inventaire : 21831
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Classique - Le Livre de Poche
Numéro(s) du livre : 943 - 944
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1969
Poids : 280 gr

Prix : 7,99 $

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Le joueur

Le joueur

Auteur : Fedor Dostoievski



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Numéro d'inventaire : 22589
Éditeur : Stock
Collection : Le Livre de poche
Numéro(s) du livre : 388
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1972
Poids : 180 gr

Prix : 5,99 $

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Les frères Karamazov - Tome I

Les frères Karamazov - Tome I

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauvres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



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Numéro d'inventaire : 1246
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Non disponible
Numéro(s) du livre : 825
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1972
Poids : 300 gr

Prix : 5,99 $

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Les frères Karamazov - Tome I

Les frères Karamazov - Tome I

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauwres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



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Numéro d'inventaire : 12924
Éditeur : Gallimard
Collection : Folio
Numéro(s) du livre : 486
ISBN : 2-07-036486-0
Année d'impression : 1983
Poids : 280 gr

Prix : 5,99 $

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EN RUPTURE D'INVENTAIRE : NE PEUT ÊTRE COMMANDÉ !




Les frères Karamazov - Tome II

Les frères Karamazov - Tome II

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauvres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



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Numéro d'inventaire : 1247
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Non disponible
Numéro(s) du livre : 836
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1972
Poids : 260 gr

Prix : 5,99 $

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Les frères Karamazov - Tome II

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski

Né à Moscou le 30 octobre 1821, Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevsky entre à seize ans à l'École du Génie. La vie militaire lui pèse. Il lit beaucoup : Balzac, Hoffmann, Schiller, Victor Hugo, Shakespeare, Racine, Goethe. Il traduit « Eugénie Grandet ». Ayant démissionné, il écrit son premier roman, « les Pauwres Gens » (1845). Bien qu'issu d'une classe privilégiée, il éprouve une grande attirance pour le peuple opprimé. Il se rapproche du cercle socialiste de Petrachevski en 1847.

Il est arrêté et condamné à mort quand Nicolas Ier s'attaque au groupe accusé d'activités subversives. La peine est commuée en travaux forcés à l'instant même où doit commencer l'exécution. Le convoi des condamnés part pour Omsk la veille de Noël 1849.

Quatre ans de bagne vécus avec les pires « Droit commun » donneront naissance aux « Souvenirs de la Maisons des Morts » (1860). Libéré, il travaille sans relâche. Il vient d'épouser une veuve, Marie Dmitrievna Issaiev, qui a un fils à charge. Il est pauvre. De là une certaine acrimonie envers le riche comte Tolstoï, son heureux rival en littérature.

Il publie « Humiliés et Offensés » en 1861. Il visite Londres, Cologne, la Suisse et Paris (« Notes d'hiver sur des impressions d'été »). Brève liaison avec Apollinaria Souslova qui l'accompagne dans de nouveaux voyages. Il s'adonne au jeu et perd. Il rompt avec A. Souslova, écrit « Le Joueur » et les « Mémoires dans un souterrain ». Sa femme meurt en 1864. Il se remarie deux ans plus tard avec Anna Grigorievna Snitkine peu après avoir terminé « Crime et Châtiment », qui sera suivi, entre autres, de « L'Idiot », « L'Éternel Mari » (1870), « Les Possédés » (1871), « L'Adolescent », (1875), « Les Frères Karamazov » (1879). Il rédige aussi pour « Le Citoyen » les chroniques du « Journal d'un écrivain », soigne sa santé précaire, perd deux de ses quatre enfants à dix ans de distance, et reçoit la consécration officielle de son talent lors de l'inauguration du monument de Pouchkine en 1880, Il meurt au bout de quatre jours de maladie le 28 janvier 1881.



Condition générale du livre : Non disponible   > Plus d'information...
Numéro d'inventaire : 13414
Éditeur : Gallimard
Collection : Folio
Numéro(s) du livre : 487
ISBN : 2-07-036487-9
Année d'impression : 1983
Poids : 300 gr

Prix : 5,99 $

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Les nuits blanches - Le sous-sol

Les nuits blanches - Le sous-sol

Auteur : Fedor Mikhaïlovitch Dostoievski



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Numéro d'inventaire : 1542
Éditeur : Le Livre de Poche
Collection : Classique
Numéro(s) du livre : 2628
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1969
Poids : 220 gr

Prix : 3,99 $

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Souvenirs de la maison des morts

Souvenirs de la maison des morts

Auteur : Fedor Mikhaïlovich Dostoïevski



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Numéro d'inventaire : 25563
Éditeur : Gallimard
Collection : Le Livre de Poche
Numéro(s) du livre : 1626 - 1627
ISBN : Non disponible
Année d'impression : 1966
Poids : 230 gr

Prix : 7,99 $

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