Auteur : Han Suyin

Le récit de Han Suyin se situe à cette heure cruciale où les « combattants de l'intérieur » multiplient les attentats contre un « pacificateur » anglais mal équipé pour comprendre un pays où règne une infinie diversité linguistique et raciale. Prise en les deux, la masse des humbles. C'est un tableau saisissant de la Malaisie déchirée que Han Suyin donne à travers le pauvre Nao, le patriote Sen, le faux P.E.R. Tsou, la trompeuse et séduisante Ah Meï face aux usurpateurs occidentaux.

Auteur : Han Suyin

Han Suyin est née en Chine du Nord en 1917, de père chinois et de mère belge. Elle commence à Pékin des études de médecine qu'elle poursuit à Bruxelles (1935-1938). Revenue en Chine quand éclate le conflit sino-japonais, elle se marie, écrit son premier livre (« Destination Tchoungking »), accompagne à Londres (1942) son mari nommé attaché militaire, et adopte un enfant. Son mari, rappelé en Chine en 1945, trouve la mort en 1947 au cours de la lutte contre les communistes.

Han Suyin achève ses études à Londres (1948) où elle exerce un an, puis réside à Hong Kong. Remariée en 1952, elle s'installe en Malaisie mais va chaque année en Chine populaire. Puis, elle poursuit à Singapour une double carrière de médecin et d'écrivain. Depuis quelques années, le succès véritablement mondial de son oeuvre l'oblige à se consacrer entièrement à son métier d'écrivain. Elle prépare notamment une vie de Mao Tse-toung dont le premier volume « Le Déluge du matin » paraît en 1972.

Han Suyin, c'est pour nous l'Orient, la Chine, la Malaisie, le Népal… « Multiple Splendeur », « Et la pluie pour ma soif », « La montagne est jeune ». Hier à Hong Kong, Singapour ou Pékin, et demain à Genève.

Le thème, le décor de ce nouveau roman ont de quoi surprendre. Le décor, c'est Londres, où Han Suyin a fait ses études de médecine, Londres pendant la guerre, entre deux alertes, sous la menace des bombardements et dans la grisaille de l'angoisse. Le thème, c'est l'amour impossible, deux étudiantes, une jeune fille et une jeune femme qui éprouvent ensemble la difficulté d'aimer, en des temps, des lieux et une époque qui sont bien ceux de la « frustration ». Ce roman insolite, inhabituel, démontre, s'il était nécessaire, que rien de ce qui est humain n'est étranger à Han Suyin, et qu'elle peut traiter, avec la même compréhension et la même objectivité, les sujets les plus divers.

Auteur : Han Suyin

Han Suyin est l'un des écrivains les plus célèbres sur le plan mondial. Son premier roman « Multiple Splendeur » fut un de ses best-sellers internationaux. Elle a publié plus de vingt livres traduits dans toutes les langues.

Dans ce petit ouvrage, elle a tenu à nous donner de façon rapide, et souvent fulgurante, l'ensemble de sa vie. Fille d'une mère belge, qui la rejette, et d'un père chinois qui l'aime, elle a souffert de sa condition d'Eurasienne qui lui a pourtant donné « le double sens » et son ouverture globale sur le monde.

Partie de rien, elle a voulu être elle-même et conquérir sa vie en devenant médecin, écrivain, femme politique au service de la Chine. Mariée trois fois, la première avec un Chinois proche de Tchang Kaï-chek, qui finit par la battre, la deuxième avec un anglais avec lequel elle vit sans amour en Malaisie et la troisième avec un Indien merveilleux, elle a gravé sa vie amoureuse dans le désastre et le bonheur.

Chinoise avant tout, elle a consacré presque toute sa vie à servir sa patrie d'origine, dont elle nous conte l'aventure à travers la sienne propre. Un témoignage fort, vigoureux, tonique. Une vie pleine, intense, émouvante. Ce livre, il faut le lire tout d'abord pour se reporter ensuite à toute son oeuvre. ll se veut la clé d'un ensemble.

Auteur : Han Suyin

La publication de « Jusqu'au matin » est un événement. Pour la première fois depuis douze ans, Han Suyin nous donne un roman. Et quel roman ! Une admirable histoire d'amour, une vaste fresque évoquant la Chine de 1944 à nos jours à travers le destin de personnages qui continuent à nous hanter, le livre une fois refermé. Stéphanie Ryder n'a pas vingt ans quand elle arrive à Shangaï en 1939 comme journaliste débutante. Elle est belle, honnête, courageuse, idéaliste. Elle va rencontrer Jen Yong, un jeune médecin chinois, un pur lui aussi qui, en cachette, travaille pour les « Rouges ». Tout de suite c'est l'amour, la passion qui les jette l'un vers l'autre, envers et contre leurs entourages respectifs. Ils se marieront en 1945, après une longue période de mise à l'épreuve. Stéphanie va s'adapter à sa famille chinoise, à la vie difficile dans cette nouvelle Chine où tout est à construire. Elle a un fils, Trésor d'Hiver, qu'elle élève avec une inquiétude passionnée car il est le fragile trait d'union entre ses deux mondes à elle. Ces deux mondes, saura-t-elle les concilier en elle et autour d'elle ? Récit haletant des épreuves et des triomphes d'une femme, « Jusqu'au matin » entraîne le lecteur dans un fabuleux voyage amoureux.

Han Suyin est l'un des écrivains les plus célèbres sur le plan mondial. Son premier roman « Multiple Splendeur » fut un de ses best-sellers internationaux. Elle a publié plus de vingt livres traduits dans toutes les langues.

Dans ce petit ouvrage, elle a tenu à nous donner de façon rapide, et souvent fulgurante, l'ensemble de sa vie. Fille d'une mère belge, qui la rejette, et d'un père chinois qui l'aime, elle a souffert de sa condition d'Eurasienne qui lui a pourtant donné « le double sens » et son ouverture globale sur le monde. Partie de rien, elle a voulu être elle-même et conquérir sa vie en devenant médecin, écrivain, femme politique au service de la Chine.

Mariée trois fois, la première avec un Chinois proche de Tchang Kaï-chek, qui finit par la battre, la deuxième avec un anglais avec lequel elle vit sans amour en Malaisie et la troisième avec un Indien merveilleux, elle a gravé sa vie amoureuse dans le désastre et le bonheur. Chinoise avant tout, elle a consacré presque toute sa vie à servir sa patrie d'origine, dont elle nous conte l'aventure à travers la sienne propre.

Auteur : Han Suyin

Stéphanie Ryder, fille d'un milliardaire texan, a tout juste vingt ans quand elle arrive à Shanghai en 1944 comme journaliste débutante. Elle est belle, honnête, courageuse, la brave petite Américaine confrontée d'un seul coup à cet univers en décomposition où tout l'effraie et la fascine à la fois.

Elle va rencontrer Jen Yong, un jeune médecin chinois, un pur lui aussi qui, en cachette, travaille pour les « Rouges ». Tout de suite c'est l'amour, la passion qui les jettent l'un vers l'autre, envers et contre leur entourage respectif. « On n'épouse pas un Chinois », « On n'épouse pas une capitaliste »…

« Jusqu'au matin » est un grand roman, bouleversant par tout ce qu'il a d'authentique, une admirable histoire d'amour comme sait en raconter l'auteur de Multiple Splendeur, une vaste fresque évoquant la Chine de 1944 à nos jours à travers le destin de personnages merveilleusement campés.

Auteur : Han Suyin

Han Suyin est née en Chine du Nord en 1917, de père chinois et de mère belge. Elle commence à Pékin des études de médecine qu'elle poursuit à Bruxelles (1935-1938). Revenue en Chine quand éclate le conflit sino-japonais, elle se marie, écrit son premier livre (« Destination Tchoungking »), accompagne à Londres (1942) son mari nommé attaché militaire, et adopte un enfant. Son mari, rappelé en Chine en 1945, trouve la mort en 1947 au cours de la lutte contre les communistes.

Han Suyin achève ses études à Londres (1948) où elle exerce un an, puis réside à Hong Kong. Remariée en 1952, elle s'installe en Malaisie mais va chaque année en Chine populaire. Puis, elle poursuit à Singapour une double carrière de médecin et d'écrivain. Depuis quelques années, le succès véritablement mondial de son oeuvre l'oblige à se consacrer entièrement à son métier d'écrivain. Elle prépare notamment une vie de Mao Tse-toung dont le premier volume « Le Déluge du matin » paraît en 1972.

Han Suyin, c'est pour nous l'Orient, la Chine, la Malaisie, le Népal… « Multiple Splendeur », « Et la pluie pour ma soif », « La montagne est jeune ». Hier à Hong Kong, Singapour ou Pékin, et demain à Genève.

« L'Arbre blessé », c'est la Chine immense et si longtemps objet de curiosité puis de convoitise pour les pays occidentaux, et maintenant devenue puissance avec qui tous doivent compter extraordinaire métamorphose d'une Chine aux traditions millénaires en Chine révolutionnaire de Sun Yat-Sen et communiste de Mao Tse-toung.

Ces temps anciens tout agités de famines, de rivalités entre seigneurs de guerre, d'abus de pouvoir impériaux, les temps plus proches des constructions de voies ferrées, de la mainmise européenne sur la Chine, Han Suyin les raconte, les explique à travers l'histoire des siens car, dit-elle, la vie d'un homme commence par ses ancêtres et se continue en ses descendants – et la vie de son père, la sienne propre, commencent avec la Famille et se confondent avec celle de la Chine. Eurasienne, Han Suyin a répudié son héritage européen pour n'être que Chinoise et célèbre avec passion ses « racines ». Cette passion, ce parti pris conditionné par son enfance donnent une résonance épique à ce récit justement sous-titré « La Chine, biographie, histoire, autobiographie », première partie qui sera complétée par « Une Fleur mortelle ».

Auteur : Han Suyin

Depuis six ans qu'elle est mariée à John Ford, Anne voit passer les jours dans la même atmosphère irritante qui paralyse ses élans et jusqu'à son talent d'écrivain. Secouer ce joug devient une nécessité impérieuse. Quand paraît l'annonce demandant un professeur d'anglais pour l'Institut féminin de Khatmandou, elle sollicite le poste et l'obtient. John refuse de la laisser partir seule. Le Ford quitteront ensemble Calcutta pour le Népal, terre des dieux.

Auteur : Han Suyin

Depuis quelques années, la Révolution chinoise et Mao Tsetoung sont à la mode en France et ailleurs. Mais le grand public de chez nous connaît-il l'une et l'autre ? De 1933 à 1944, nous étions trop occupés par nos propres affaires pour nous intéresser à ce qui se passait en Chine et qui, vu de loin, semblait être un inextricable imbroglio. D'où notre ignorance à quoi n'ont pu remédier des ouvrages historiques sur la tragédie chinoise, des biographies très fragmentaires et contradictoires de Mao Tsetoung, des articles philosophiques austères, difficiles et confidentiels, sur ce qu'on a appelé « la pensée de Mao ».

Le livre de Han Suyin, par sa nature, la nouveauté de sa conception est propre à combler nos lacunes. D'abord parce qu'il se présente comme un tout. Certes, c'est une biogrâphie de Mao, mais « si Mao a façonné la Révolution, à son tour la Révolution a façonné Mao ». Han Suyin s'attache donc à nous faire suivre l'immense épopée de la paysannerie chinoise, depuis les terribles échecs du début jusqu'à la Longue Marche et l'entrée de l'Armée Rouge à Pékin, en 1949. Nous vivons la vie quotidienne de ces gens simples, souvent illettrés, mais soutenus par un espoir indomptable en l'avenir et le désir irrépressible de conquérir leur dignité d'êtres humains. Ensuite, parce que l'auteur de tant de romans remplis d'humanité a su nous faire voir en Mao un homme parmi d'autres. C'est le petit paysan révolté, l'adolescent à l'idéologie incertaine, le jeune révolutionnaire marxiste, maigre, ascétique, aux cheveux longs, qui lutte contre le savoir livresque, contre la direction erronée du Parti communiste d'alors, qui tente seul ou presque, avec ses paysans, d'appliquer ce qu'il croit juste. C'est l'homme entièrement dévoué aux opprimés et aux humiliés, à la fois souple et têtu, qui échoue, recommence, se heurte à l'incompréhension des Soviétiques, à des oppositions qu'il résorbe sans liquidation physique, qui grâce à la lutte et au contact permanent qu'il maintient avec le peuple se trempe le caractère et peu à peu élabore à partir de l'expérience ce qu'on appellera « la pensée de Mao ». Enfin Han Suyin a osé faire ce que personne n'avait fait encore donner au grand public, en quelques pages précises et claires, un exposé théorique des conceptions « maoïstes », de l'adaptation du marxisme aux conditions spécifiquement chinoises.

Le Déluge du matin est un livre que liront ceux et celles qui s'intéressent aux événements de l'histoire contemporaine cette histoire qui concerne tous les hommes et toutes les femmes de la terre, ceux qui veulent comprendre leur époque et aussi ceux que passionnent les grandes fresques. Car, Han Suyin a mis son talent de romancière au service de l'Histoire. Elle admire, aime et respecte Mao, mais son admiration ne se traduit jamais par les basses flagorneries qui ont entouré Staline.

Son Mao n'est pas un demi-dieu, c'est un homme, hors du commun sans doute, mais un homme. Et le lecteur n'est pas près d'oublier ces forteresses montagnardes où, parmi les paysans, se dresse la silhouette pensive du grand garçon maigre aux cheveux longs qui continue à vivre dans le Président Mao.

Auteur : Han Suyin

La romancière de La Cité des sortilèges n'a cessé au fil des ans de retourner en Chine, le pays de sa naissance. Des lendemains de la mort de Mao aux jours du massacre de Tiananmen, elle nous donne ici la chronique de ce pays, mêlant sa voix à celles des paysans, des étudiants ou des dirigeants politiques qu'elle connaît bien.

Communisme archaïque ou modernité libérale ? Faux débat, juge Han Suyin. Ce pays qui demeure à 80 % paysan doit aujourd'hui concevoir son développement sans modèle importé, fût-ce celui d'une « perestroïka » improvisée et dévastatrice.

Mais plutôt qu'un essai d'économie politique, ce récit est d'abord un témoignage vivant, humain, quotidien. Au risque de heurter nos convictions ou nos préjugés d'Occidentaux, Han Suyin dit ce qu'elle sait, ce qu'elle voit, ce qu'elle sent dans ce pays. On doit l'entendre. Elle le connaît depuis toujours. Et surtout : elle l'aime.

Auteur : Han Suyin

Un roman d'amour exceptionnel.

Han Suyin est née en Chine du Nord en 1917, de père chinois et de mère belge. Elle commence à Pékin des études de médecine qu'elle poursuit à Bruxelles (1935-1938). Revenue en Chine quand éclate le conflit sino-japonais, elle se marie, écrit son premier livre (« Destination Tchoungking »), accompagne à Londres (1942) son mari nommé attaché militaire, et adopte un enfant. Son mari, rappelé en Chine en 1945, trouve la mort en 1947 au cours de la lutte contre les communistes.

Han Suyin achève ses études à Londres (1948) où elle exerce un an, puis réside à Hong Kong. Remariée en 1952, elle s'installe en Malaisie mais va chaque année en Chine populaire. Puis, elle poursuit à Singapour une double carrière de médecin et d'écrivain. Depuis quelques années, le succès véritablement mondial de son oeuvre l'oblige à se consacrer entièrement à son métier d'écrivain. Elle prépare notamment une vie de Mao Tse-toung dont le premier volume « Le Déluge du matin » paraît en 1972.

Han Suyin, c'est pour nous l'Orient, la Chine, la Malaisie, le Népal… « Multiple Splendeur », « Et la pluie pour ma soif », « La montagne est jeune ». Hier à Hong Kong, Singapour ou Pékin, et demain à Genève.

Auteur : Han Suyin

Un roman d'amour exceptionnel.

Han Suyin est née en Chine du Nord en 1917, de père chinois et de mère belge. Elle commence à Pékin des études de médecine qu'elle poursuit à Bruxelles (1935-1938). Revenue en Chine quand éclate le conflit sino-japonais, elle se marie, écrit son premier livre (« Destination Tchoungking »), accompagne à Londres (1942) son mari nommé attaché militaire, et adopte un enfant. Son mari, rappelé en Chine en 1945, trouve la mort en 1947 au cours de la lutte contre les communistes.

Han Suyin achève ses études à Londres (1948) où elle exerce un an, puis réside à Hong Kong. Remariée en 1952, elle s'installe en Malaisie mais va chaque année en Chine populaire. Puis, elle poursuit à Singapour une double carrière de médecin et d'écrivain. Depuis quelques années, le succès véritablement mondial de son oeuvre l'oblige à se consacrer entièrement à son métier d'écrivain. Elle prépare notamment une vie de Mao Tse-toung dont le premier volume « Le Déluge du matin » paraît en 1972.

Han Suyin, c'est pour nous l'Orient, la Chine, la Malaisie, le Népal… « Multiple Splendeur », « Et la pluie pour ma soif », « La montagne est jeune ». Hier à Hong Kong, Singapour ou Pékin, et demain à Genève.